La nuit est tombée sur Delhi depuis déjà plusieurs heures. Nous rentrons de soirée et trouvons un groupe d’ouvriers en plein travail à quelques pas de chez nous. Il est minuit, ou peut-être une ou deux heures du matin, chaussés de tongs, short et débardeur, ils s’activent à mains nues, humant le goudron à pleines narines. Ils refont la route…